Elle écrit tous les jours. Parfois, elle ne peut plus. Parce qu’il faut prendre le temps, être doucement aux aguets, regarder. Et puis quand la tristesse est là, il faut laisser porter le regard plus loin, reprendre son souffle, apprendre à se souvenir sans peine. Il faut aller regarder les paysages pour se consoler et revenir.
Un jour, une description, le 24 septembre